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22 novembre 2013 5 22 /11 /novembre /2013 15:56

Bonjour à toutes et à tous,

 

En liaison avec la réforme des « Rythmes Scolaires » ou  plus exactement de "l’aménagement du temps de l’enfant", je vous invite à parcourir cet article formateur publié ce jour par « LE MONDE »

« D’où viennent les mauvais résultats de l'école primaire en France ? »

- Mis à jour le 22.11.2013 à 11h02

Dans les mois à venir, les programmes du primaire, en date de 2008 vont être réécrits. Les enseignants viennent d’être sondés sur leur appréciation et leur application de ces textes. Pourtant, selon le rapport de l’inspection générale intitulé "Bilan de la mise en œuvre des programmes issus de la réforme de l’école primaire de 2008", que Le Monde s’est procuré, les mauvais résultats de l’école primaire française qui n’apprend à lire et compter qu’à 80 % des enfants, ont des racines plus profondes que la seule mise en cause des programmes. Dix grandes leçons ressortent du travail collectif remis au ministre en juin 2013.

 Leçon 1 : pourquoi trop d’écoliers ne lisent pas

"Ce qui frappe dans ce domaine de la lecture, c’est que la majorité des maîtres ne dispose pas des cadres théoriques minimaux, ce qui ne leur permet pas d’être lucides quant à leurs pratiques. Ils ne différencient pas les composantes des compétences de compréhension et ne peuvent donc pas les faire travailler explicitement. Ils n’ont guère de repères pour juger de la complexité des textes qu’ils proposent et n’ont souvent de critères de choix que la longueur ou le thème : sur cette base, ils ne peuvent pas penser des 'progressions' mais seulement des 'programmations'". 

Si l’on lit bien le rapport de l’inspection générale, signé par Philippe Claus, les enseignants qu’on devrait former prioritairement à l’enseignement de la lecture croient bien faire, mais manquent d’abord de compétences. Un effet de la suppression de la formation initiale sous le gouvernement précédent, mais aussi une lacune plus profonde car l’enquête n’a pas été menée auprès des seuls jeunes enseignants.

Et l’IG d’ajouter "certes aucun maître n’est démuni face à la lecture, sans doute parce qu’il y a toujours quelque chose à faire lire, parce qu’il existe des manuels et des fichiers fournisseurs de questionnaires de compréhension et des éditions d’œuvres littéraires aujourd’hui souvent accompagnées d’un corpus d’exercices. De ce fait, le besoin de (re)penser cet enseignement n’est pas ressenti. C’est pourtant urgent." L’heure est donc grave en la matière ! 

Leçon 2 : lire n’est pas que déchiffrer

"98 % des enseignants du cycle 2 ont le sentiment d’enseigner de manière satisfaisante la 'technique' de la lecture et 96 % pensent faire de même pour ce qui est de la compréhension des textes. Un peu plus de 80 % disent effectuer correctement ce qui est requis d’eux sur les œuvres intégrales et 78 % se montrent satisfaits de ce qu’ils font en matière de lecture à haute voix. Pour certains, le travail pourrait être plus approfondi mais tous disent s’acquitter du programme en matière de lecture."

Lorsque Philippe Claus interroge les enseignants tout va donc pour le mieux ! Et pourtant l’inspecteur ajoute que "les observations ne confortent pas forcément ces scores satisfaisants. Si quelque chose a évolué dans les dernières années, c’est sans doute la conscience de ce qui est exigible au cours préparatoire et la nécessité alors de mettre en œuvre un enseignement systématique, structuré, exhaustif des correspondances graphophonologiques. Mais cette avancée a un revers : l’enseignement du code et de la combinatoire est souvent devenu l’affaire du seul CP avec un manque de suivi approfondi au CE1, une absence du renforcement nécessaire pour parvenir à l’automatisation, seul gage de plein succès en lecture. Les élèves les plus faibles ne sont pas pris en charge à proportion de leurs besoins dès cette seconde année du cycle 2, ce qui fait dire à certains inspecteurs que le début du 'décrochage' date de ce moment-là."

Et ceux qui n’ont pas eu assez de temps en CP ont du mal à combler les lacunes en CE1. "De manière assez générale, le temps de lecture décroît fortement du CP au CE1. Les écarts extrêmes observés au cours de l’enquête vont de plus de cinq heures hebdomadaires au CP à moins de deux heures au CE1. Ce que doit être l’enseignement de la compréhension est encore mal assimilé. La découverte des textes, quand la maîtrise du code commence à s’installer, n’est pas enseignée avec méthode. La compréhension est traitée, en collectif, de manière superficielle et globale, sans distinction entre les composantes cognitives de niveaux différents qui la constituent. Pour les maîtres eux-mêmes les stratégies que les élèves doivent mettre en œuvre pour apprendre à comprendre ne sont pas explicites. Il manque donc aux maîtres des compétences importantes que la formation ne leur offre pas. Ce défaut semble valoir aussi bien pour les maîtres depuis longtemps dans les classes, qui n’ont donc pas bénéficié des derniers apports de la science et pour les nouveaux venus, sans formation depuis 2008."

 Leçon 3 : les élèves n’écrivent plus

"La pratique de l’écriture manuscrite longue (plus de 10 lignes) reste rare, toutes formes d’activités confondues, ce qui empêche les élèves d’acquérir l’aisance et la vitesse qui seront utiles, dans la prise de notes par exemple. Il est dit que l’effort d’écriture rebute les élèves, et on le leur épargne." Le constat est sévère. Rien ne permet de l’infirmer si ce ne sont les contre exemples positifs. "Des enseignants qui pratiquent  l’écriture libre trouvent que 'l’écrit se libère', ce qui rend plus aisée la rédaction sur sujet imposé. Il importe de signaler que ces pratiques ont été observées dans des écoles de l’éducation prioritaire ; leur efficacité montre qu’il est possible d’être exigeant et que, dans ces écoles, les ambitions que l’on se donne le plus communément sont trop réduites."

Leçon 4 : élaguer les programmes

L’inspection générale a observé tout au long de son enquête que les 10 heures hebdomadaire de français en cycle 2 et les 8 heures en cycle 3 sont respectées. La demande des enseignants serait même d’en faire plus. "Globalement, les équipes pédagogiques qui ne jugent pas les programmes de français trop lourds, voire 'infaisables', sont rares ; ce fut le cas, durant l’enquête, dans une seule école (située en secteur rural, accueillant des élèves de milieux sociaux divers, connaissant une stabilité de ses enseignants). Mais même quand ils considèrent que la charge est excessive, tous les maîtres ne sont pas favorables à un trop grand allégement, notamment quand ils enseignent dans les milieux les plus défavorisés. Ils expriment alors leur conviction que la maîtrise du français – que leurs élèves ne peuvent acquérir qu’à l’école – doit être la première des priorités, mieux calibrée sans doute pour chaque étape de la scolarité. Mais selon eux, ce sont d’autres parties du programme qu’il faudrait supprimer pour mettre l’accent sur l’enseignement de la langue." Un débat pour le contenu des futurs programmes.  

 Leçon 5 : rédiger des textes, bof… bof

"92 % des maîtres interrogés estiment travailler de manière satisfaisante la copie, et 94 % la dictée. Pour la rédaction, ils ne sont plus que 52 % à porter ce jugement favorable sur leurs pratiques", explique le rapport. "Si les cahiers des élèves permettent de vérifier que cette dernière affirmation correspond aux réalités, les écrits n’attestent pas nécessairement un enseignement rigoureux du geste d’écriture. L’observation en classe met en évidence que l’écriture cursive et les pratiques de copie sont souvent mal fixées, avec les conséquences en matière de lenteur et d’approximations graphiques que cela aura inévitablement à plus ou moins long terme. Des inspecteurs qualifient les activités graphiques et de copie d’activités bouche-trou ; ils indiquent ainsi que le maître intervient peu et n’accorde guère d’importance à ces tâches qui relèvent d’un rite scolaire et ne sont pas perçues dans ce qu’elles peuvent avoir de formateur."

 Leçon 6 : l’anglais ? La grande mystification

"L’horaire réglementaire indiqué par les programmes pour l’enseignement de la langue vivante étrangère au cycle 2 et au cycle 3 est de 54 heures annuelles, que les enseignants peuvent décliner hebdomadairement en fonction de leur projet pédagogique. Force est de constater que ces horaires ne sont pas du tout respectés dans 90 % des écoles au cycle 2, où ils varient de 30 minutes à une heure. Seuls onze départements déclarent que les élèves bénéficient d’une heure et demie d’enseignement de langue par semaine. Pour ces derniers, quelques inspecteurs précisent toutefois que la réalité est sans doute inférieure à l’horaire porté à l’emploi du temps. Il semble qu’il soit mieux respecté au cycle 3 dans lequel il se décline majoritairement selon la formule de deux fois quarante-cinq minutes par semaine. Mais, d’une part, beaucoup d’enquêtes notent une nouvelle fois que, si cet horaire est bien affiché, il n’est pas sûr qu’il soit effectivement réalisé 13, d’autre part les enseignants eux-mêmes avouent, selon les inspecteurs, qu’ils utilisent assez souvent le temps dédié à l’enseignement de la langue étrangère pour rattraper une leçon de mathématiques ou de français. "On comprend mieux pourquoi le niveau des jeunes français est un des bas faibles d’Europe. Même l’Espagne est passée devant nous !

Leçon 7 : des maths dans les programmes ? Ah, bon !

Le rapport de l’inspection reprend un à un les grands domaines de compétences qu’un enfant doit maîtriser en fin de primaire s’il veut pouvoir progresser au collège. La situation est globalement mauvaise. L’analyse de l’apprentissage des mesures, est un bon exemple. "Au cycle 2, près de deux maîtres sur trois (62 %) estiment qu’ils traitent de manière peu approfondie ou trop succinctement les "unités usuelles de longueur, de masse, de contenance et de temps ; la monnaie". Les notions de contenance et de masse sont jugées par certains enseignants non seulement 'difficiles' à ce niveau, mais 'inutiles', ce qui ne manque pas de surprendre puisque ces deux notions sont omniprésentes dans la vie quotidienne des élèves comme des adultes, qui sont amenés à considérer des canettes et des pack de contenances diverses ainsi que des aliments achetés au poids (masse en langage courant). Presque autant de maîtres (58 %) négligent la "résolution de problèmes portant sur des longueurs", grandeur tout aussi essentielle. Et on constate que, paradoxalement, dans ce domaine pourtant directement en prise avec le réel, les élèves sont trop rarement conduits à observer et à agir sur leur environnement. Les outils de mesurage sont insuffisamment utilisés dans des contextes de nécessité ou d’utilités concrètes. Le calcul de coûts semble, lui, échapper à cette distance au réel, et on rencontre plus fréquemment des situations (voyages scolaires ; achats pour la classe...) où les mathématiques sont bien un outil pour agir. Au cycle 3 également, ce domaine du programme est indiqué comme étudié trop succinctement par un nombre important de maîtres : 36 % pour "longueurs, masses, volumes" ; 21 % pour les aires ; 16 % pour les angles ; 14 % pour "repérage du temps, durées" ; 10 % pour la monnaie… et 19 % pour les "problèmes concrets". Une expérimentation menée par la direction des études et de la prospective du ministère, intitulée PACES, a montré qu’en 6ème les enfants qui retravaillaient ces dimensions progressaient beaucoup plus que les autres qui semblaient s’écrouler par manque de bases.

 Leçon 8 : vous avez dit oral ?

On regrette que l’élève français ait plus de mal à s’exprimer en public que ses camarades des pays voisins. La lecture du rapport permet de comprendre que cette lacune trouve tôt ses racines. "L’enseignement de l’oral n’est pas planifié : il ne bénéficie que très rarement de créneaux dans l’emploi du temps et, surtout, ne fait l’objet d’aucune progression. Il n’y a pas en la matière de critères de progrès clairs pour les maîtres (c’est rarissime) qui ne cultivent pas chez leurs élèves une attention personnelle quant au "bien parler" ou au "bien comprendre". De manière concomitante, il n’y a pas d’évaluation réelle même s’il en existe des traces dans les livrets. Interrogés à ce sujet, les maîtres prennent alors conscience qu’ils confondent en fait souvent "participation" et "langage" : leur évaluation est positive si "un élève prend régulièrement la parole".

Les professeurs rencontrés justifient leur abstention dans ce domaine par les arguments du manque de temps et de l’obstacle du grand groupe : il faut "gérer les leaders" pour permettre à tous de parler, ce qui finalement est quasiment impossible ; par ailleurs, souvent, les enfants ne sont pas intéressés par le discours des autres, des problèmes d’attention apparaissent, voire de l’indiscipline."

Leçon 9 : le "dico", objet d’étude et non d’usage

"La place des dictionnaires ne manque pas d’étonner. Dès le CE1, les exercices sur l’ordre alphabétique sont fréquents et au cycle 3 les activités sur le rangement des mots et sur la lecture d’articles de dictionnaires abondent. Mais alors que le dictionnaire est un objet d’étude attesté, il n’est pas un outil de travail. Rares sont les classes où chaque élève dispose d’un dictionnaire à portée de main et est encouragé à l’utiliser régulièrement dans les tâches de lecture et de rédaction. Interrogés à ce sujet, les maîtres ont tous la même réponse : "ça prend trop de temps".

 Leçon 10 : taper de ses dix doigts

Vous aimeriez que vos enfants apprennent à taper sur un clavier avec leurs dix doigts ? "Au cycle 2, 10 % des maîtres consultés par questionnaire disent mettre régulièrement leurs élèves en situation d’écrire avec un clavier (c’est une composante explicite du programme) et 54 % reconnaissent ne jamais le faire. D’après les observations en situation, c’est sans doute encore trop dire ; aucune trace n’est visible de ce que les élèves produiraient ainsi, sauf dans les cas rares de blogs d’écoles ou de classes, qui mobilisent d’ailleurs plutôt des élèves de cycle 3. Pour ce qui est des supports numériques pour la lecture ou les recherches documentaires, leur usage est compartimenté dans l’esprit des maîtres : "je le fais en sciences" mais ce n’est plus alors pour eux de lecture qu’il s’agit alors que les compétences de lecture y sont sollicitées à l’évidence. Trois arguments, manque de matériel aisément mobilisable, nécessité de travailler en groupes réduits dès que l’on recourt au numérique et temps à consentir pour cela, sont rédhibitoires pour les professeurs rencontrés."

 Conclusion : former les maîtres ou réformer les programmes ?

Le rapport fait le constat que les maîtres n’enseignent pas certains points du programme qu’ils trouvent "trop difficiles", ou "prématurés".

 Les inspecteurs généraux estiment qu’il faudrait "procéder, selon le cas, à un accompagnement des maîtres par de la formation, à des reports sur l’année ou le cycle suivant ou à des ajustements dans les niveaux de maîtrise attendus". Ce qui signifie donc autant revoir la formation des enseignants que les programmes !

 Maryline Baumard

Bien cordialement,

Christian GRZEMSKI,

Conseiller Municipal

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21 novembre 2013 4 21 /11 /novembre /2013 11:48

Bonjour à toutes et à tous,

Je vous transmets cet article-information publié le 20 novembre 2013 par :

« Alliance pour le Douaisis »,   

  - Association pour la formation et l'information des adhérents et sympathisants de l'UMP, de l'UDI, de CPNT et des non inscrits divers droite -   

Cet article qui aborde un sujet  très actuel… nous concerne tous ; aussi n’hésitez pas à le diffuser

 

l’aménagement du temps de l'enfant et de l'adolescent.....

Elus, enseignants, parents…  vous voulez vous faire une opinion sur la réforme des rythmes scolaires  ou plutôt  l’aménagement du temps de  l'enfant et ce qu’en pense  une spécialiste » chercheur chrono biologiste »

 Rendez vous sur les sites :

http://www.claireleconte.com/pages/presentation/biographie.html

http://www.claireleconte.com/

http://www.claireleconte.com/videos/

Claire Lecomte : Enseignant-chercheur en psychologie à Lille 3 Spécialiste des rythmes biologiques "Professeur de psychologie de l’éducation sur l’aménagement du temps de  enfant et de l'adolescent .

Bien cordialement

Christian GRZEMSKI,

Conseiller Municipal,

Secrétaire-Adjoint « Alliance pour le Douaisis »

 

vos commentaires par e-mail : agirpourlallaing@aliceadsl.fr

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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 20:38

L’Association des Anciens Combattants remercie les internautes qui  ont posté sur l’adresse

mail : agirpourlallaing@aliceadsl.fr

 

des messages de remerciements, de félicitations pour la qualité des manifestations de ce 11 novembre.

Parmi tous ces témoignages, il est à noter l’émotion suscitée par la remise du drapeau « Passeurs de Mémoire » aux écoles primaires de notre ville afin que le Devoir de Mémoire perdure.

 

Encore Merci à tous et plus particulièrement à ceux qui ont honoré de leur présence ces manifestations.

Christian GRZEMSKI,

Président des ACPG,

Conseiller Municipal

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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 15:05

Bonjour à toutes et à tous,

Je souhaite vous faire partager cet article publié ce 16 novembre 2013 par : 

  « Alliance pour le Douaisis »,   

  - Association pour la formation et l'information des adhérents et sympathisants de l'UMP, de l'UDI, de CPNT et des non inscrits divers droite -   

Car bien évidemment des citoyens lallinois retraités qui ont eu 3 enfants et plus sont concernés par cette mesure, une de plus…

 

 

Stop au coup de bambou pour les retraités

par Laurent Wauquiez

 

MISE EN GARDE CONTRE LA PAUPÉRISATION DES CLASSES MOYENNES

J’ai épluché le budget 2014, en commission des finances de l’Assemblée nationale, et je suis outré de voir une mesure dont personne ne parle, et qui va pourtant toucher 42% des retraités :

« la suppression de l’exonération d’impôt sur le revenu des majorations de retraite ou de pension pour charges de famille, à compter de l’imposition des revenus 2013 ».

Nous sommes dans la folie totale.

C’est un vrai coup de bambou pour nos retraités. La facture va être salée pour les classes moyennes une fois de plus.

Une mesure qui va peser sur 42% des retraités

Concrètement, cette mesure, instituée depuis 1941, vise à soumettre à l’impôt sur le revenu les majorations de 10% de pensions pour les parents ayant eu au moins trois enfants. En faisant ce choix, le gouvernement espère dégager 1,2 milliards d’euros de recettes.

Cela va représenter un choc pour les classes moyennes et les familles modestes.

Une fois encore, le gouvernement s’attaque aux retraités, déjà pénalisés par le report de la revalorisation des pensions et la taxe de contribution additionnelle de solidarité.

Un gouvernement en totale contradiction

On a un gouvernement qui est en pleine contradiction, avec d’un côté, on nous annonce finalement que la fameuse taxe sur les très hautes rémunérations touchera les entreprises, pas les personnes. Et d’un autre côté, on continue à faire les poches des familles modestes !

Au total, ce sont 12 milliards d’euros supplémentaires pris sur les Français dans le budget du gouvernement : complémentaire santé, quotient familial, fin des déductions pour les étudiants, droit de mutation déplafonné, cotisations retraites supplémentaires. Et le gouvernement ose appeler cela : « la pause fiscale » ?

Coluche, leur aurait répondu : « heureusement que vous n’avez pas prévu d’impôts sur les mensonges de votre gouvernement ».

Cette année, le gouvernement augmente les impôts sur les ménages et sur les classes moyennes qui portent l’essentiel du fardeau. C’est une politique injuste parce que tous les efforts sont demandés aux mêmes.

A chaque fois ce sont des dizaines d’euros supplémentaires. Au total, des Français appartenant aux classes moyennes et aux familles modestes auront vu leurs impôts augmenter de plusieurs centaines d’euros.

Aujourd’hui les classes moyennes n’en peuvent plus. 

Elles sont exaspérées : les salariés qui ont perdu les heures supplémentaires, les retraités qui deviennent imposables, les familles qui perdent les aides pour leurs enfants qui étudient.

Ces classes moyennes avec vous ont été sans cesse plus taxées, et sans cesse moins aidées. Elles ont de plus en plus de mal à boucler chaque mois leur budget.

Le gouvernement est en train de paupériser les classes moyennes françaises.

Ilest en train de casser le ressort de notre société en étouffant les classes moyennes de taxes. Comment veut-on ensuite que la consommation redémarre en France ?

Même dans ses rangs, de plus en plus de parlementaires tirent la sonnette d’alarme.

Ce qui augmente en 2014 : 

·         Pour les ménages, le plafond du quotient familial est abaissé de 2000 à 1500 euros par demi-part

·         La réduction d’impôt forfaitaire pour frais de scolarité (61 € pour un enfant au collège, 153 € au lycée, et 183 € dans le supérieur) est supprimée

·         La participation de l’employeur aux contrats complémentaires santé sera désormais soumise à l’impôt sur le revenu

·         La majoration des pensions de retraites pour ceux qui ont eu trois enfants et plus est désormais fiscalisée

·         Les droits de mutation, autrement appelés « frais de notaire », sur un achat immobilier pourront être relevés de 3,8 % à 4,5 % par les conseils généraux en 2014 et 2015

·         Le barème du malus automobile est durci avec un abaissement du seuil de déclenchement et une augmentation des tarifs de chaque tranche.

            Bien cordialement à tous.

             Pour l’équipe « AGIR pour LALLAING"  

           Christian GRZEMSKI,    

           Conseiller Municipal  

            Secrétaire-Adjoint « Alliance pour le Douaisis »  

 

 

          vos commentaires par e-mail : agirpourlallaing@aliceadsl.fr

 

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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 20:40

2

 LE DRAPEAU.... 

4

                                  les "Passeurs de Mémoire"

 

discours du Président :  

Mesdames, Messieurs, les enfants,  

Chers concitoyens,  

Vous venez d’assister à la remise d’un drapeau aux écoles de Lallaing.

Recevoir et assurer la garde d’un drapeau n’est pas chose anodine.

 

En 1792, la France révolutionnaire était menacée par les monarchies voisines.  

L’Assemblée Constituante déclara la Patrie en danger et pour fédérer ses citoyens elle donna à sa nouvelle armée un drapeau aux couleurs de sa cocarde, cette dernière reprenant les couleurs de la ville de Paris (le bleu et le rouge) associées à celle du royaume (le blanc).

 

Un an plus tard la première République fut proclamée. Son unicité et son indivisibilité s’inscrivent dans sa nouvelle devise « Liberté, Egalité, Fraternité » et la Marseillaise s’impose comme chant national.

Dès lors, le drapeau tricolore à bandes verticales devient l’emblème visible des valeurs de la République, de la France.

 

Le bleu pour la Liberté, cette liberté qu’inspirent  la profondeur et l’infini de notre ciel.

Le blanc pour l’Egalité, couleur de la pureté mais aussi celle de la neutralité entre les hommes.

Le rouge pour la Fraternité, couleur du sang qui coule dans nos veines et qui est le même quelles que soient nos appartenances ethniques.

A chaque fois que notre pays, notre Patrie était en danger, c’est derrière ce drapeau que des hommes et des femmes se sont levés pour défendre ou reprendre leurs droits.

A chaque fois que notre pays, notre patrie a tendu la main à des opprimés de la vie, à des victimes de catastrophe ou de conflits, c’est derrière ce drapeau que des hommes et des femmes sont allés porter secours et assistance.

Naguère, il n’y a pas si longtemps, lorsque vos pères, vos grands-pères effectuaient leurs obligations nationales, il était d’usage de leur présenter le drapeau de leur régiment, de leur navire ou de leur unité aérienne.

A cette occasion, il leur était demandé de servir avec fidélité et honneur les valeurs de la République, et de se souvenir du sacrifice de leurs anciens, sacrifices qui ont permis à la France de continuer à vivre.

 

Ils ont comme beaucoup d’autres contribuer à forger un bien très précieux et très fragile : la PAIX.

Aujourd’hui, 11 novembre 2013, 95ème anniversaire de l’Armistice de la première guerre mondiale, en vous confiant ce drapeau, nous les anciens combattants, nous vos parents, nous les adultes nous vous demandons de ne pas oublier les valeurs de notre devise, nous vous demandons de ne pas oublier le sacrifice des hommes et des femmes inscrits sur notre monument.

 

Ils ont comme beaucoup d’autres contribuer à forger un bien très précieux et très fragile : la PAIX.

Nous vous demandons de devenir à votre tour : Passeurs de Mémoire.

 

Je conclurai mon propos par des remerciements tout particulièrement à l’attention de :

Madame GRASSET-LAVOISY, Inspectrice de l’Education Nationale et à Mesdames et Messieurs les Directeurs d’Ecole, pour l’adhésion à notre projet

 

à Monsieur Jean-Jacques CANDELIER, notre député et à Monsieur Thierry DANCOINE, notre maire pour l’aide matérielle que tous deux nous ont apportée.

à l’Office National des Anciens Combattants,

 

à l’Ordre National du Mérite

à la Fédération des ACPG qui nous sont soutenu dans la mise en place de ce drapeau. 

Enfin un grand merci aux enfants qui prennent une part très active au « Devoir de Mémoire » parce que SE SOUVENIR c’est être plus fort ensemble demain…

Je vous remercie pour votre attention.

 

Christian GRZEMSKI,

Président des ACPC

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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 18:48

 

Parce que le « Devoir de Mémoire » concerne toutes les générations, les anciens combattants ACPG ont développé, depuis quelques années, un partenariat avec les écoles primaires de notre ville qui sont désormais présentes aux commémorations patriotiques.  

 

Un partenariat qui vient en complément des cours dispensés : il s’agit pour ceux qui ont eu une expérience militaire des conflits de raconter leur vécu, d’accompagner les enfants sur les lieux de Mémoire et d’être pendant un instant le guide, le grand-père que l’on écoute attentivement…. «  le passeur de mémoire ».

 

Cette année, à l’approche du centenaire de la première guerre mondiale, les anciens combattants, gardiens du Devoir de Mémoire, ont tenu à intégrer dans leurs rangs les générations montantes afin que la flamme du souvenir perdure….

 

Pour ce faire, en étroite relation avec Madame GRASSET-LAVOISY, Inspectrice de l’Education Nationale, il a été décidé de remettre un drapeau,  symbole de notre Nation, aux écoles primaires.

 

La garde de ce drapeau, qui dans ses plis porte l’inscription « Passeurs de Mémoire » sera confiée à un établissement scolaire, lors de la commémoration du 11 novembre et changera de garde chaque année.

 

PB111818                                                                        départ du défilé au cimetière

PB111831       tombe du soldat inconnu fleurie par les enfants

 scan01-019.jpg

 

 

 

 

 

 

 

                  tombe des aviateurs canadiens

 

Après un recueillement sur les tombes du « soldat inconnu » et  des deux aviateurs canadiens, c’est un long cortège de Lallinois qui s’est présenté au monument aux morts

PB111861

                                                                           défilé rue des poilus

C’est en présence d’une foule importante  que Monsieur  Sylvain BOCQUET,  Directeur de  l’école DUNANT a reçu, devant le monument aux morts, le drapeau des « Passeurs de Mémoire » qu’il a confié, non sans émotion,  à l’une de ses élèves.

 

scan01-025.jpg

                                                            début de cérémonie au monument aux morts

 

PB111871

                                                                                  le club de Judo 

                                          Cérémonie : "PASSEURS DE MEMOIRE"

 

 

2

 

                                                                         remise du drapeau 

 

 

4

                                                                       les "Passeurs de mémoire"

 

 

5.JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 allumage de la flamme

 

 

PB111872.JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                     le maire et les "Passeurs de Mémoire"

 

Puis, comme l’an dernier, c’est en la salle des fêtes de l’Hôtel de Ville que les traditionnels discours ont été lus.

 

PB111885

                                                                   arrivée du défilé à l'hôtel de ville 

 

 PB111903.JPG

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

     discours du secrétaire des ACPG

 

 

 

 

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 discours du Président des ACPG

                                                                                                                   

 

 scan01 053

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                    discours de monsieur le maire

 

La cérémonie s’est achevée par "la Marseillaise" chantée par les enfants, reprise en cœur par l’assistance  et  accompagnée  par l’Harmonie des Mineurs sous la direction de Monsieur Gérard TURBELIN.

 

 

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                                                                                 pendant la Marseillaise

 

 

 

100_4854.JPG

 

 

 Quelques heures après, la flamme du souvenir est toujours active.....

 

 

 

 

Merci à tous les participants.

 

Christian GRZEMSKI,

Président des ACPG

 

Crédit photos :

- ACPG - Harmonie Municipale - Municipalité 

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15 novembre 2013 5 15 /11 /novembre /2013 12:23

Bonjour à toutes et à tous,

Je souhaite vous faire partager cet article-information publié ce jour par : 

 

« Alliance pour le Douaisis »,   

  - Association pour la formation et l'information des adhérents et sympathisants de l'UMP, de l'UDI, de CPNT et des non inscrits divers droite -   

En effet, j’estime que chaque citoyen est concerné par les débats mis à  l’ordre du jour de ce congrès puisque les décisions prises conditionneront directement notre vie quotidienne.

Le groupe « AGIR pour LALLAING »  a toujours opté pour « la Transparence » et à ce titre, il n’a cessé d’attirer l’attention de l’équipe municipale sur la faiblesse de notre budget : 6 millions d’euros dont 80% reposent sur l’aide de l’Etat (DGF), dotation qui devrait se réduire en 2014.

Toujours avec le souci des moyens financiers dont dispose la commune,  au nom du groupe « AGIR pour LALLAING » j’ai aussi interpellé la majorité sur le coût induit par le changement du rythme scolaire. Le risque majeur étant d’offrir à nos écoliers, des moyens périscolaires de bas de gamme, pouvant obérer leurs chances d’élévation sociale.

 

Enfin, à la lecture de ces informations, nous pouvons d’ores et déjà être attentifs aux promesses électorales à venir…. aussi alléchantes soient elles , votre Réalisme sera de rigueur.

 

Congrès de l'AMF : les maires prêts à débattre du rôle de la commune

 

Dernier congrès avant les prochaines élections municipales, le 96e Congrès des maires, qui se tiendra du 18 au 21 novembre prochain à Paris, sera aussi le dernier pour de nombreux maires quittant la vie politique pour partir en retraite.

 

L’Association des maires de France s’attend donc « à une affluence record », comme l’a rappelé hier, lors d’une conférence de presse, son président, Jacques Pélissard.

 

D’autant plus que les projets de réforme qui préoccupent les maires sont nombreux :    

 

Action publique territoriale et futures métropoles,

 

transfert automatique des PLU aux intercommunalités,

 

rythmes scolaires,

 

PLF 2014 actant la baisse des dotations…

 

 

Autant de sujets sur lesquels les maires comptent bien se faire entendre lors de leur congrès.

 

« Les maires ne sont pas des quémandeurs de subventions financées par le déficit budgétaire. La baisse des dotations est une nécessité au redressement des comptes de l’Etat mais il faut alléger en contrepartie la barque au niveau des charges », a déclaré Jacques Pélissard, dénonçant une nouvelle fois un « effet ciseau insupportable ». Dans la ligne de mire du président de l’AMF : le poids des normes sur les budgets locaux.

Il a demandé hier au gouvernement « d’être responsable » sur ce sujet.

« Les difficultés financières des collectivités locales sont de plus en plus prégnantes », a déclaré pour sa part André Laignel, premier vice-président délégué de l’AMF.  

 

« Il y a aujourd’hui deux risques, celui d’une panne des investissements et celui d’une baisse de la qualité des services publics locaux », a-t-il poursuivi.

 

 André Laignel a indiqué « qu’un affaissement de l’investissement du bloc communal commençait à se faire sentir en 2013 », le phénomène devant s’amplifier en 2014 en raison du cycle normal du renouvellement municipal et de la baisse des dotations d’1,5 milliard d’euros, dont 840 millions d’euros pour le seul bloc communal.

 

Ces tendances devraient transparaître dans l’étude réalisée par l’AMF et la Banque postale sur les finances des communes et intercommunalités dont les résultats seront dévoilés pendant le congrès.

Une autre étude devrait aussi attirer l’attention des congressistes, celle réalisée par l’Institut Médiascopie sur les « mots des maires », à savoir la perception qu’ont les citoyens de leur maire à travers les mots qu’il emploie.

 

Les résultats seront présentés lors du premier grand débat sur le rôle des communes intitulé : « 36 769 maires, chance ou faiblesse pour la République ? » « Nous croyons à la modernité du rôle de la commune », a commenté Jacques Pélissard, affichant sa satisfaction sur « la vision peut-être décapante » qui pourrait sortir des débats.

 

Deuxième débat, celui sur l’avenir des communes à travers l’intercommunalité :

 

« Est-ce que l’intercommunalité doit continuer à être un outil au service des communes ou devenir l’instrument de leur dilution ? », a interrogé André Laignel, ajoutant : « C’est un vrai débat. Il faut que nous l’ayons de manière ouverte ».

 

 

Secrétaire général de l’AMF, André Rossinot a regretté quant à lui que « l’Etat se réforme de manière unilatérale, sans coordination avec les territoires ». Le maire de Nancy a aussi fait part de ses craintes sur « une réforme territoriale trop parcellisée » conduisant à de longs débats parlementaires préjudiciables à la « lisibilité de la réforme ».

 

Ce 96e congrès sera aussi l’occasion de dévoiler les résultats d’une troisième étude, menée celle là par l’AMF auprès des 4 000 communes ayant engagé la réforme des rythmes scolaires à la rentrée 2013.

 

« Nous avons aujourd’hui un taux de retour de 25 %. Cela permet d’avoir une vue intéressante de la réalité », a expliqué Jean Launay, trésorier général de l’association.

 

« Le souci pour l’AMF est d’obtenir pour toutes les communes un traitement de même niveau », a-t-il poursuivi, ajoutant que la reconduction obtenue par l’AMF du fonds d’amorçage en 2014 constituait « un point fort ».

 

Ce retour d’expériences devrait être dévoilé en présence du ministre de l’Education nationale Vincent Peillon.

Interrogés enfin sur l’absence du président de la République au prochain congrès, les responsables de l’AMF ont répondu que cela avait déjà été le cas à plusieurs reprises et qu'il n'y avait donc aucune raison d'y voir un message politique. Ils ont ainsi rappelé que François Mitterrand n’était venu que deux fois, la première en début de mandat et la seconde en fin de mandat.

 

 source maire info

 

 

Bien cordialement à tous

 

             Pour l’équipe « AGIR pour LALLAING"  

             Christian GRZEMSKI,    

           Conseiller Municipal  

          Secrétaire-Adjoint « Alliance pour le Douaisis »  

 

               vos commentaires par e-mail : agirpourlallaing@aliceadsl.fr

 

                

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 20:46

 

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                          les affiches...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Il y a déjà un siècle… et pourtant dans l’esprit d’un grand nombre d’entre nous  cela parait si proche tant notre Histoire est intimement liée avec les évènements de la première guerre mondiale ; celle que l’on nomme : la guerre de 14-18 ou encore la der des der.

 

     

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                                                                le discours du Secrétaire des ACPG  

 

Au même titre que l’église, le monument aux Morts fait partie du paysage local…   sur ses flancs sont inscrits des dates, des noms qui pour la plupart ne sont pas inconnus puisque ce sont ceux de nos arrières grands-pères, de nos grands-pères que cette terrible guerre nous a empêché de connaître.

 

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                                                        le discours du Président des ACPG

 

Leurs enseignants inculquent des dates, des lieux, des situations, des vécus de «  Poilus » mais ces enfants n’ont malheureusement plus de grand-père pour leur raconter la vie de cette époque, les émotions que les livres d’Histoire ne peuvent traduire.

 

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                                                          le discours du Président de la Société Historique 

 

La Société Historique de notre commune avait en 1998 publié un document relatant Lallaing et sa région durant la grande guerre et à l’approche de son centenaire, c’est tout naturellement que les anciens combattants, membres de cette association, ont tenu à rappeler les moments de vie de la population durant ce premier conflit mondial.

 

 

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                                                                                 le discours du Maire

 

 Sur une thématique qui se déroulera sur les cinq années à venir, la guerre de 1914 -1918 sera évoquée avec des matériels de cette période mais surtout avec un regard sur le parcours des combattants inscrits sur notre monument aux morts et ce, grâce aux archives militaires désormais accessibles.  

 

Cette année c’est sur le thème «  la Grande Guerre par les affiches de propagande »  que cette série d’expositions a été introduite.

 

 

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                                                                             les personnalités  

 

Des affiches qui fixent les interdits, des graphismes qui montrent la nécessité des privations, la solidarité,  mais aussi l’espoir de  vivre le retour d’un fils, d’un mari, d’un père…  

Des émotions à chaque image et que dire du sens critique qu’elles pourront éveiller ???

 

Inaugurée ce samedi 9 novembre 2013,  cette exposition réalisée en étroite collaboration

avec la Société Historique, a ouvert ses portes durant 3 jours et a connu un vif succès avec environ 800 visiteurs.

 

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                                                                            des moments d'échange...

 

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Le mardi 12 novembre 2013, cette exposition fut réservée aux écoles primaires de notre commune.    

 

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                                                                                                                     les écoles

 

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               les enfants durant la visite

 

Enfin ces 2 associations « Société Historique » et « Anciens Combattants ACPG » qui travaillent en étroite collaboration, n’excluent pas le prêt de tout ou partie de cette exposition aux écoles des communes périphériques qui en feront la demande.

 

Christian GRZEMSKI,

Président des ACPG,

Conseiller Municipal

 

crédit photos :  ACPG Lallaing

                              Municipalité 

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 11:10

Bonjour à toutes et à tous,

Je souhaite partager avec vous cet article très touchant qui  s’inscrit dans le discours qui est le mien ; article publié ce 12 novembre 2013 par : 

« Alliance pour le Douaisis »,   

  - Association pour la formation et l'information des adhérents et sympathisants de l'UMP, de l'UDI, de CPNT et des non inscrits divers droite -   

   

COMBATTANTS................

 Dis-moi pourquoi Papy, je te vois si souvent
Défiler dans la ville avec tous tes copains
Vous portez des drapeaux, dans la pluie, dans le vent
Marchant du même pas unis dans la main
 

Dis-moi pourquoi Papy, de l'église au cimetière
Au monument aux morts, on entend le clairon
Vous déposez des fleurs sur des dalles de pierre
J'aimerais tout savoir, quelle en est la raison

Dis-moi pourquoi Papy, brillent sur vos poitrines
Ces médailles colorées que vous portez fièrement
Pourquoi vous défilez si silencieux, si dignes
Et ce que signifient vos rassemblements

En réponse mon petit, notre patrie la France
Pour être grande et forte compte sur ses enfants
Beaucoup d'entre eux sont morts le cœur plein d'espérance
Pour que vous puissiez vivre en paix tout simplement

Regarde-les passer, respecte leurs emblèmes
Car ils ont donné avec le même élan
Leur jeunesse, leur sang, le meilleur d'eux-mêmes
Sois fier de leur passé : ce sont des combattants

Car notre Boum à nous, ce n'était pas la Foire
Nous n'avions pour musique que la voix du canon
Et tous ceux qui tombaient n'avaient qu'un seul espoir,
Eviter à leurs Fils de connaître le front

Bien cordialement

Christian GRZEMSKI,

Conseiller Municipal,

Secrétaire-Adjoint « Alliance pour le Douaisis »

Président des ACPG

vos commentaires par e-mail :agirpourlallaing@aliceadsl.fr

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 19:59

Bonsoir à toutes et à tous ;

En complément de l’article sur la famille roumaine, je vous communique ci-après une adresse Internet où le 03 mai 2013 le Président de la C.A.D, Monsieur Christian POIRET, s’exprimait sur l’arrivée de familles « ROMS » sur le territoire du Douaisis.

www.lobservateurdudouaisis.fr/article/03/05/2013/camp-de-roms-flers---letat-et-la-cad-vont-travailler-sur-un-autre-projet/4383

La C.A.D est pionnière dans l’accueil de ces familles, il n’est pas question de créer des camps de stationnement qui seraient humainement indignes ; c’est pourquoi il faut leur apporter véritablement  le moyen de s’insérer…

A la suite de cette intervention, je déplore  qu’il n’y ait pas eu , pour le moins, de communication au conseil municipal sur cette disposition ; pourtant nous avons 3 élus de la Majorité qui siègent à la CAD ???

D'autre part, au regard de la situation que nous vivons actuellement, un minimum de communication aurait été apprécié…

Enfin à l’attention de quelques bien pensants, pour la petite histoire, si le 19 octobre dernier, Monsieur Xavier DUPONT, Bourgmestre d’ECAUSSINNES-LALAING n’a pu nous accompagner à Vimy, c’est qu’il était en déplacement en ROUMANIE, à la rencontre d’une population jumelée avec sa ville.  

Par conséquent entre villes jumelées, dont la vocation première est de développer des liens d’amitié…. ne serait il pas plus intelligent de mettre en pratique l’adage :

    

 « Les amis de mes amis sont aussi mes amis….. »

 

Bien cordialement,

Christian GRZEMSKI,

Conseiller Municipal

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